Le CFCM dépose plainte contre Facebook et YouTube

Les images, extrêmement choquantes, sont restées en ligne et visionnables sur Facebook et YouTube sans que les géants internet n’aient réussi à les faire disparaître entièrement. 

Le terroriste, auteur du double-attentat visant les mosquées de Christchurch, avait activé le système de vidéo en direct proposé par Facebook. 

Durant 17 minutes, le massacre était disponible en direct et les internautes ont été profondément choqués. 

Tout au long de la journée et du weekend qui a suivi, la vidéo a été reprise sur d’autres plateformes comme YouTube et Twitter. 

Le CFCM a donc pris la décision de saisir la justice pour faire la lumière sur les circonstances dans lesquelles la diffusion du massacre de 50 musulmans a été autorisée.